Dans le salon, une paire d'abat-jour façon origami en parchemin blanc avec fil rouge encadrent une mixité d'objets disposés sur un long meuble moderne. Au mur, une grande toile accrochée dans la perspective de la table en verre, toutes deux de format carré.
Un mur du dressing est composé de masques africains autour d'un grand miroir crée dans une caisse américaine, en contraste avec le meuble blanc moderne. Le parti pris d'un mur violine, renforce le caractère énigmatique de l'art africain.
La vitrine rouge, destinée à recevoir les statuettes africaines, a été dessinée et adaptée dans une niche communicant avec le salon.
Dans la chambre, l'art africain est ici réinventé par la grande tête de lit en bois travaillé horizontalement à la gouge. Deux masques africains en parchemin, accrochés façon baladeuse avec leur fil rouge, complètent un rétro-éclairage par LED sur tranche. Les chevets sont en plexiglass.
Création d'une suspension centrale en parchemin pour la cuisine et d'une fausse poutre lumineuse.
Aménagement et rénovation de la terrasse tropezienne : la structure métallique de poutres IPN encadrant ont été peintes en rouge foncé pour souligner l'espace ouvert et les portes en gris chaud. Des jardinières d'herbes sauvages rythment l'horizon.
Les luminaires sont réalisés par M. Gilles Espic Le tableau est une oeuvre de Melle Stéphanie Drugeon
LIEU : Hyères, France
DATE : 2014
SURFACE : 150 m2
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